Nos ancêtres… La famille Vézina, la suite…

La mémoire généalogique comme Histoire

En conséquence, l’emploi de techniques narratives analogues à celles des historiens patentés est une première justification de notre affirmation que les généalogistes sont aussi historiens.

Il y en a d’autres. Les auteurs font aussi de l’histoire parce qu’ils ont tenté de résoudre des mystères historiques.

Comme les historiens académiques, ils formulent des problématiques et hypothèses sur leurs objets. Se poser une question sur le passé, établir un projet de recherche et rédiger une réponse forment certainement le degré zéro de la démarche historique.

Si les travaux de nos généalogistes sont similaires au travail d’historien, les techniques de recherche et de vérification divergent.

Une autre différence majeure porte sur l’intentionnalité des généalogistes, qui s’oppose en apparence à celle des historiens « académiques », en ce qu’ils ne cherchent pas à faire une histoire précisément « professionnelle ».

Au contraire, il la rejettent. Ils écrivent leur propre histoire, pour eux-mêmes.

Caroline-Isabelle Caron, La narration généalogique en Amérique du Nord francophone, Ethnologies comparées, no 4 – « Mémoires des lieux », printemps 2002


Cette photo vient de la collection de ma tante Evelyne. J’ai longtemps cherché à savoir qui était à la droite d’Hermine Paiement mon arrière-grand-tante.

J’ai trouvé.

Il n’y aura pas de suite ici sur Nos ancêtres III, car tous les descendants d’Olivier Vézina et d’Hermine Paiement, la sœur d’Aldina (à droite) sont des Américains. Olivier et Hermine déménagent à Tupper Lake dans l’État de New York, puis s’installent à Springfield au Massachusetts.

Par contre, il y a beaucoup de descendants du couple Sévère Rivard et de Rose-de-Lima Lapolice qui s’ignorent encore.

J’avais glissé quelques mots à propos de cette photo sur Nos ancêtres II.

Noces d’or de M. et M. S. Rivard
Ste Anne des Plaines
15 juillet 1934

Sévère Rivard et Rose-de-Lima Lapolice

Assez facile d’identifier les jubilaires.

Cet été, Gaston, mon ami généalogiste amateur comme moi, avait partagé la photo des noces d’or et il voulait identifier le plus de gens possible sur la photo du 50e. J’ai revu Gaston cette semaine et, ensemble, c’est ce que nous allons essayer de faire…

Identifier le plus de personnes posant pour la postérité il y a 89 ans devant une maison.

Je ne sais pas grand-chose sur ces personnes, mais, ensemble, nous allons essayer de les faire parler et d’écrire leur histoire ici.

Une vieille photo nous parle toujours comme celle-ci.

À suivre prochainement sur Nos ancêtres III

 

C’est reparti…

Mais plus ici, faute d’espace pour ajouter des images.

15 juillet 1934, Sévère Rivard et Rose-de-Lima Lapolice fêtent leur noces d’or à Ste-Anne-des-Plaines.

En attendant de vous en parler, allez faire un petit détour sur les plaines d’Abraham…

Nos ancêtres III – Musée des plaines d’Abraham

Euclide aux États?

Billet écrit en juillet 2012 sur Nos ancêtres

J’ai fini mon petit contrat… ou presque, mais je retourne quand même à mon obsession première. Euclide Sauvé aux États? Avec son frère Aldama? manifeste daté d’octobre 1914, à Malone, New York Euclide aux États? Attendez que je réfléchisse à ça un peu… Eh oui! Euclide est allé travailler aux États! Un grand-père, c’est important dans […]

Euclide aux États?

Joyeux Noël 1927?

La mémoire généalogique comme Histoire

En conséquence, l’emploi de techniques narratives analogues à celles des historiens patentés est une première justification de notre affirmation que les généalogistes sont aussi historiens.

Il y en a d’autres. Les auteurs font aussi de l’histoire parce qu’ils ont tenté de résoudre des mystères historiques.

Comme les historiens académiques, ils formulent des problématiques et hypothèses sur leurs objets. Se poser une question sur le passé, établir un projet de recherche et rédiger une réponse forment certainement le degré zéro de la démarche historique.

Si les travaux de nos généalogistes sont similaires au travail d’historien, les techniques de recherche et de vérification divergent.

Une autre différence majeure porte sur l’intentionnalité des généalogistes, qui s’oppose en apparence à celle des historiens « académiques », en ce qu’ils ne cherchent pas à faire une histoire précisément « professionnelle ».

Au contraire, il la rejettent. Ils écrivent leur propre histoire, pour eux-mêmes.

Caroline-Isabelle Caron, La narration généalogique en Amérique du Nord francophone, Ethnologies comparées, no 4 – « Mémoires des lieux », printemps 2002


J’ai développé au fil des ans mon devoir de mémoire. J’ai aussi développé ma mémoire. J’ai aussi appris à me méfier…

Joyeux Noël 1927?

1927 – Naissance de mon père…

1927 – Décès de son grand-père Stanislas Lagassée aka (also known as) Dennis Lagassee II.

J’ai également développé mon sens d’observation depuis 2007 en faisant parler les vieilles photos.

Collection Evelyne Pilon

En juillet 2007 j’avais facilement identifié la femme à gauche grâce à cette carte mortuaire enfouie pêle-mêle dans un des deux sacs d’épicerie en plastique de ma tante Evelyne…

Mais je n’arrivais pas à identifier la femme à droite. C’est là que la logique était intervenue. Était-ce sa mère, une de ses filles, une de ses innombrables cousines, sa sœur Aldina?

J’avais éliminé tout de suite sa mère Philomène Legault dit Deslauriers, épouse de Pierre Paiement, 5e maire de Sainte-Marthe, comté de Vaudreuil.

J’avais également éliminé ses filles.

Rebecca Vézina 1882–1973
Laura Vézina 1886–1960
Albina Vézina 1888–?
Florentine Vézina 1890–1895
Annonciade Vézina 1891–1891
Alma Vézina 1894–?
Sarah Vézina 1898–1898
Sarah Vézina 1900–1900
Léonie Vézina 1900–1901
Sarah Vézina 1901–1902
Yvonne Vézina 1903–?
Corinne Vézina 1904–1908

Pour les cousines, la paresse avait pris le dessus de ma recherche et laissé finalement place au sens d’observation.

Ai-je la certitude qu’Aldina est immortalisée sur une photo avec sa sœur Hermine?

Bon je m’éloigne…

Joyeux Noël 1927?

À suivre, mais dorénavant sur Nos ancêtres III.

Gerard J Lagasse (1946-2014)

Avant de fermer les livres…

En février 2014 j’étais surtout très actif sur Our Ancestors, et ce, depuis le mois de janvier. Beaucoup de partage et aussi beaucoup de découvertes.

J’aurais bien aimé partager mes vieilles photos de mes ancêtres avec mon deuxième cousin Gerard J Lagasse en 2010.

Difficile de se contrôler quand on commence à chercher ses racines. Avec une troisième cousine, aussi incontrôlable que moi, nous avions identifié en 2010 qui étaient ces gens sur cette vieille photo, sauf le petit garçon.

Il serait Gerard H Lagasse, né le 9 juin 1916.

Gerard était le premier enfant de Harry Lagasse et d’Anna Campbell. Je savais tout sur leurs ancêtres, Anna, de descendance écossaise et Henri, fils de Stanislas Lagacé II et d’Amanda Ménard.

close-up Anna Campbell and Harvey Lagasse

Anna et Henri

Ma troisième cousine « extremely low profile » et moi en savions pas mal sur cette branche de Lagacé.

Gerard J Lagasse

Harry avait eu un autre fils, Laurent ou Lawrence. Pour en savoir plus cliquez ici

J’espérais toujours retrouver des descendants reliés à ces gens.

close-up Anna Campbell and Harvey Lagasse

J’étais allé par la suite faire une recherche sur Internet et j’avais trouvé l’avis de décès de Gerard Lagasse. C’est ce même Gerard qui m’avait laissé ce commentaire sur mon blogue Our Ancestors en 2010.

Hi Pierre

I am the first son of Gerard H Lagasse and would be glad to share info. with you.

Thanks

Gerard

Je lui avais répondu, mais sans jamais avoir d’autres contacts, je croyais alors à une mauvaise blague…

L’avis de décès contenait assez d’informations pour me permettre de contacter ses enfants. Ce que je fis.

J’attends toujours…

Les Vézina

La mémoire généalogique comme Histoire

En conséquence, l’emploi de techniques narratives analogues à celles des historiens patentés est une première justification de notre affirmation que les généalogistes sont aussi historiens.

Il y en a d’autres. Les auteurs font aussi de l’histoire parce qu’ils ont tenté de résoudre des mystères historiques.

Comme les historiens académiques, ils formulent des problématiques et hypothèses sur leurs objets. Se poser une question sur le passé, établir un projet de recherche et rédiger une réponse forment certainement le degré zéro de la démarche historique.

Si les travaux de nos généalogistes sont similaires au travail d’historien, les techniques de recherche et de vérification divergent.

Une autre différence majeure porte sur l’intentionnalité des généalogistes, qui s’oppose en apparence à celle des historiens « académiques », en ce qu’ils ne cherchent pas à faire une histoire précisément « professionnelle ».

Au contraire, il la rejettent. Ils écrivent leur propre histoire, pour eux-mêmes.

Caroline-Isabelle Caron, La narration généalogique en Amérique du Nord francophone, Ethnologies comparées, no 4 – « Mémoires des lieux », printemps 2002


En 2015 on m’avait écrit ce qui suit en partageant cette photo.

Écrit à l’arrière LES VEZINA.

En premier je l’avais situé entre 1924 et 1929 parce qu’Eva Théorêt (1), fille de Toussaint Théorêt (3) et de Marie Cholette (15) s’est mariée le 01/09/1924 à Ste Justine de Newton.

Le 13/02/1929 mourrait Marie Cholette (15).

Le seul rapport entre les familles Théorêt et Vézina, c’est Olivier Vézina qui était marié avec Hermine Paiement décédé 29/06/1916 à Springfield Mass, il était témoin au mariage d’Edouard Paiement et Donalda Théorêt (14) le 16/10/1888 à Ste Justine, sœur de Toussaint (3).

Plus rien.

Surprise, un jour je tombe sur Marie Tarsile Héléna Paiement (10) (je crois) né 22/07/1904 à St Polycarpe. Elle se marie le 08/06/1925 à la cathédrale de Valleyfield, avec son cousin Jean Baptiste Raoul Vézina (11) fils d’Olivier Vézina. Il est pharmacien de la paroisse St- Thomas de Springfield Mass, veuf de Louise Blanchard. Il ne reste qu’à spécifier pour les autres, (9) Léonie Paiement 25 ans, (13) sûrement un Vézina aussi chic que Raoul (11).

Peut-être Olivier Vézina (1) et Édouard Paiement (2).

Pour 4, 5, 6 sûrement des Paiement et 12 la femme inconnue.


Jean Baptiste Raoul Vézina et Marie-Louise Blanchard ce sont ces jeunes mariés sur une photo de la collection de ma tante Evelyne.

8 octobre 1907

Raoul fait partie que cette liste des 21 enfants d’Hermine Paiement et d’Olivier Vézina que je leur ai trouvés.

Roméo Vézina 1880–
Albert Vézina 1881–1946
Rebecca Vézina 1882–1973
Raoul Vézina 1884–1967

Elmer Vézina 1885–
Laura Vézina 1886–1960
Albina Vézina 1888–
Florentine Vézina 1890–1895
Annonciade Vézina 1891–1891
Ovide Vézina 1891–1891
Ovide Vézina 1892–
Alma Vézina 1894–
Euclide Vézina 1896–
Sarah Vézina 1898–1898
David Alexis Vézina 1899–1900
Sarah Vézina 1900–1900
Léonie Vézina 1900–1901
Sarah Vézina 1903–1903
Yvonne Vézina 1903–
Corinne Vézina 1904–1908
Joseph David Vézina 1906–1906

Revoici Marie-Louise Blanchard avec sa sœur Sarah à gauche.

Marie-Louise Blanchard décède le 4 octobre 1923.

À suivre bientôt sur Nos ancêtres III.

Nos ancêtres III – Musée des plaines d’Abraham

La mémoire généalogique comme Histoire

En conséquence, l’emploi de techniques narratives analogues à celles des historiens patentés est une première justification de notre affirmation que les généalogistes sont aussi historiens.

Il y en a d’autres. Les auteurs font aussi de l’histoire parce qu’ils ont tenté de résoudre des mystères historiques.

Comme les historiens académiques, ils formulent des problématiques et hypothèses sur leurs objets. Se poser une question sur le passé, établir un projet de recherche et rédiger une réponse forment certainement le degré zéro de la démarche historique.

Si les travaux de nos généalogistes sont similaires au travail d’historien, les techniques de recherche et de vérification divergent.

Une autre différence majeure porte sur l’intentionnalité des généalogistes, qui s’oppose en apparence à celle des historiens « académiques », en ce qu’ils ne cherchent pas à faire une histoire précisément « professionnelle ».

Au contraire, il la rejettent. Ils écrivent leur propre histoire, pour eux-mêmes.

Caroline-Isabelle Caron, La narration généalogique en Amérique du Nord francophone, Ethnologies comparées, no 4 – « Mémoires des lieux », printemps 2002


Le voyage dans le temps de nos ancêtres se poursuit avec ma visite du musée des plaines d’Abraham la semaine dernière.

 

Site Internet

https://www.ccbn-nbc.gc.ca/fr/

C’était ma deuxième visite au musée, la première s’étant abruptement terminé en manquant la première marche de la salle de projection.

 

Je ne pense pas qu’il y avait ces lignes et encore moins assez d’éclairage pour les voir. J’avais donc raté la première marche, projeté vers l’avant, fendu le front et raté la présentation multimédia.

Fast forward…

 

 

La présentation en anglais précédait celle en français. La rapidité des commentaires laissant peu de temps pour comprendre facilement le fil des évènements, j’ai regardé la présentation en français. Ma visite s’est ensuite poursuivie dans cette salle.

 

Nous y voyons les uniformes des combattants.

Les Anglais…

 

 

 

Les Français…

 

 

 

 

 

Des descriptions nous renseignent sur les forces en présence.

 

 

 

 

Les généraux ont bien entendu une place d’honneur.

 

 

 

Ils sont tout juste aux côtés du combattant des Premières Nations.

 

 

La salle regorge d’artefacts qui feraient l’envie de collectionneurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des panneaux suspendus renseignent les visiteurs.

 

La visite se poursuit dans une salle attenante.

 

 

 

 

S’y retrouvent des maquettes illustrant les événements.

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour en apprendre plus…

https://www.ccbn-nbc.gc.ca/fr/musee-des-plaines-abraham/expositions/batailles/

Léon serait donc probablement dans le Lovell. À suivre…

La mémoire généalogique comme Histoire

En conséquence, l’emploi de techniques narratives analogues à celles des historiens patentés est une première justification de notre affirmation que les généalogistes sont aussi historiens.

Il y en a d’autres. Les auteurs font aussi de l’histoire parce qu’ils ont tenté de résoudre des mystères historiques.

Comme les historiens académiques, ils formulent des problématiques et hypothèses sur leurs objets. Se poser une question sur le passé, établir un projet de recherche et rédiger une réponse forment certainement le degré zéro de la démarche historique.

Si les travaux de nos généalogistes sont similaires au travail d’historien, les techniques de recherche et de vérification divergent.

Une autre différence majeure porte sur l’intentionnalité des généalogistes, qui s’oppose en apparence à celle des historiens « académiques », en ce qu’ils ne cherchent pas à faire une histoire précisément « professionnelle ».

Au contraire, il la rejettent. Ils écrivent leur propre histoire, pour eux-mêmes.

Caroline-Isabelle Caron, La narration généalogique en Amérique du Nord francophone, Ethnologies comparées, no 4 – « Mémoires des lieux », printemps 2002


Je vais encore faire revivre mon arrière-grand-père Léon. J’ai finalement retrouvé mon arrière-grand-père Léon Sauvé dans le Lovell de 1914.

43, rue Maguire

2006, rue Clarke

Aussi dans le Lovell de 1915, mais non après.

J’ignorais que Léon avait une épicerie au 2006, rue Clarke à Montréal. C’est grâce à cet autre document que j’avais déjà que je le l’ai appris.

Ses deux fils Euclide et Aldama s’en vont travailler à Tupper Lake en 1914 et déclarent demeurant au 43, rue Magloire, en fait la rue Maguire.

Avec cette découverte j’ai décidé de poursuivre mes recherches plus à fond et j’ai trouvé plein d’enfants de sa belle-soeur Hermine Paiement et de son beau-frère Olivier Vézina aux États.

Hermine Paiement (Collection Evelyne Pilon)

Enfants d’Hermine Paiement et d’Olivier Vézina.

  • Roméo Vézina 1880–
  • Albert Vézina 1881–1946
  • Rebecca Vézina 1882–1973
  • Raoul Vézina 1884–1967
  • Elmer Vézina 1885–
  • Laura Vézina 1886–1960
  • Albina Vézina 1888–
  • Florentine Vézina 1890–1895
  • Annonciade Vézina 1891–1891
  • Wilfred Vézina 1891–1901
  • Ovide Vézina 1892–
  • Alma Vézina 1894–
  • Euclide Vézina 1896–
  • Sarah Vézina 1898–1898
  • David Alexis Vézina 1899–1900
  • Sarah Vézina 1900–1900
  • Léonie Vézina 1900–1901
  • Sarah Vézina 1901–1902
  • Yvonne Vézina 1903–
  • Corinne Vézina 1904–1908
  • Joseph David Vézina 1906–1906

Pour y voir clair, Léon Sauvé avait marié Aldina Paiement que vous voyez à droite.

Collection Evelyne Pilon

Aldina ressemble à sa petite-fille Aline comme deux gouttes d’eau.

Pas besoin de passer le test d’ADN d’Ancestry… Donc à gauche c’est Hermine Paiement et mon arrière-grand-mère Aldina. Aldina Paiement décède le 10 décembre 1925, mais Hermine ne l’a jamais su.

Collection Evelyne Pilon

Hermine était décédée le 29 juin 1916 à Springfield au Massachusetts.

Collection Evelyne Pilon

Ma tante Evelyne avait cette carte de Noël de la famille Vézina dans ses deux sacs d’épicerie en plastique en 2007.Olivier Vézina est le deuxième à droite dans la première rangée avec les overall.

Nous serions dans les années 20.

Son beau-frère Édouard Paiement et sa belle sœur Donalda Théorêt lui rendaient probablement visite.

À côté d’Olivier c’est sa troisième femme Joséphine Paquet, veuve de Francis Clermont.

À suivre…