«Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?»… la suite  

Voici la suite… Elle est à la fin.


Plus de trois mois sans écrire sur Nos ancêtres II… J’espère que vous n’avez pas trouvé le temps long.

Je n’avais rien de nouveau à vous dire, et je ne voulais sûrement pas parler de la Covid-19, du confinement, de vaccin, de politique, de libarté, etc…

«Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?»

«Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?» c’est l’anecdote que mon ami Jacques Gagnon vient tout juste de m’écrire. Il fallait que je la partage, et Jacques était d’accord.

Re-salut

Aucun problème pour l’usage de la photo. Le prof Dion était le seul civil de l’école, ce qui devait être plutôt rare à l’époque. L’école, qu’on appelait l’Académie, était sous la responsabilité des Très Révérends Frères du Sacré-Cœur. Ils occupaient le dernier étage. En regroupant la première et la deuxième année, j’ai ainsi pu passer directement de 1 à 3… ce qui m’a créé des problèmes plus tard, car j’étais un très ti-cul parmi les grands. Quand je suis arrivé en 10ième, un grand tarlet m’a demandé dans la cour de récréation : «Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?»

Jacques

Toute cette histoire a commencé par un souvenir d’enfance partagé dans un commentaire sur Souvenirs de guerre. Voici le lien…

https://mpierrela.wordpress.com/2016/01/17/eugene-gagnon-et-george-beurling-se-sont-ils-rencontres-en-1947/

Vous pourrez tout lire ou alors sauter pour aller à la section Commentaires. Vous ferez la connaissance de Maurice Martin qui a reconnu son vieux copain Jacques.


La suite…?

Maurice m’a écrit de nouveau avec la liste des écolies de l’Académie.

Sur cette photo, les années 1 et 2 sont dans la même classe. Jacques a sauté son année 2 voilà qui explique pourquoi il n’apparaît pas sur ma photo année 2. J’étais absent pour cette photo, mais j’avais la photo quand même. A l’époque les classes se terminaient à Brompton avec la 9, mais nous étions assez nombreux qu’on a fait une 10 pour l’année 1958-59 et il n’y en a pas eu après. L’année 11 était à Sherbrooke (École St-François nouvellement construite).

Voici pour résumer les noms des élèves pour ton info.

Rangée 1 avant (de gauche à droite):

Marc Forest (décédé)

Jacques Gagnon

Gérard Hamel

Claude Boucher (ex député PQ)

Jean Guy Blais

Marcel Dionne

Jacques Roy

Bergeron ou Marois ou vice versa.

Rangée 2:

Réjean Beaudoin

-Robert Cyr

-André St-Pierre (décédé)-

Gilles Roy

Réal Boucher (décédé) et frère de Claude-

Gérard Lapointe (décédé)

Antoine Lafleur (décédé)

Claude LemireDesrochers

Gaston Lapointe (décédé)et frère de Gérard

Fernand Robidas (décédé)

Rangée 3:

Sylvio Dion (décédé)

Claude Charest

Réjean Allaire (décédé)

André Bélanger

Robert St-Pierre

Marc André Martin (décédé) ancien policier

Réjean Blais

Émile Nicol (décédé)

Jean-Guy Lafleur

Rangée 4:

Réjean Lebel (décédé)

St-Laurent

André Cartier

Nelson Bilton

Réal Grégoire (décédé)

Gilles ou Marcel Vaillancourt (les 2 sont décédés)

Blais?

Yvan Blais

«Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?»  

Plus de trois mois sans écrire sur Nos ancêtres II… J’espère que vous n’avez pas trouvé le temps long.

Je n’avais rien de nouveau à vous dire, et je ne voulais sûrement pas parler de la Covid-19, du confinement, de vaccin, de politique, de libarté, etc…

«Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?»

«Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?» c’est l’anecdote que mon ami Jacques Gagnon vient tout juste de m’écrire. Il fallait que je la partage, et Jacques était d’accord.

Re-salut

Aucun problème pour l’usage de la photo. Le prof Dion était le seul civil de l’école, ce qui devait être plutôt rare à l’époque. L’école, qu’on appelait l’Académie, était sous la responsabilité des Très Révérends Frères du Sacré-Cœur. Ils occupaient le dernier étage. En regroupant la première et la deuxième année, j’ai ainsi pu passer directement de 1 à 3… ce qui m’a créé des problèmes plus tard, car j’étais un très ti-cul parmi les grands. Quand je suis arrivé en 10ième, un grand tarlet m’a demandé dans la cour de récréation : «Ti-gars, ta mére a sais-tu que té icitte?»

Jacques

Toute cette histoire a commencé par un souvenir d’enfance partagé dans un commentaire sur Souvenirs de guerre. Voici le lien…

https://mpierrela.wordpress.com/2016/01/17/eugene-gagnon-et-george-beurling-se-sont-ils-rencontres-en-1947/

Vous pourrez tout lire ou alors sauter pour aller à la section Commentaires. Vous ferez la connaissance de Maurice Martin qui a reconnu son vieux copain Jacques.