À propos de Johann Wilhem Froebe

Ce commentaire laissé en 2012 sur mon article de Marie Dépau.

M. Lagacé,

Plusieurs descendants ont sûrement le vieux document, écrit par J. David Frève, que j’ai en main au sujet de notre ancêtre Johann Wilhem Froebe. Malheureusement, les lieux et les patronymes y sont souvent mal orthographiés ce qui complique les recherches.

On peut retrouver la trace de l’ancêtre sous:

COLLECTION COLONIAL OFFICE (Co.42/39)
Archives  publiques du Canada (APC) – Rapport de 1890, papiers d’états, QANQ-Q 4M00-2806, page 268 à 355

Régiment de Anhalt-Zerbst Compagnie du Capitaine Carl Frederick PIQUET
Dans la liste des apointés et soldats nous trouvons au numéro 27 : FREWE Wilhelm
(1)    Extrait d’un courriel provenant de Charles Campeau

‘’…N.B. Les témoins sont du régiment Anhalt Zerbts, donc (FROEBE est) probablement Wilhelm FREWE du même régiment Anhalt Zerbst, Cie du Cap. Piquet, âgé de 27 ans, grandeur 5’5’’, né à Mulhouse, 6 ans et 2 mois de service (MG13=référence militaire ANC à Ottawa), variation du nom Frebvre. Donc s’il a été licencié en juillet 1783 (comme cela a été pour la plupart) il est entré dans l’armée en mai 1777…’’

Noter: le patronyme Rupelle ou Ruppel n’apparaît pas sur le certificat de mariage du couple. On n’y lit que : Louise.

« Le premier ancêtre de la famille Frève au pays est originaire de Mulhousen (Milhausen) en Alsace-Allemagne. JOHANN WILHELM FROËVE, alias FRANÇOIS FRÈVE, lors de son adjuration en 1786,  naquit au château de Mulhausen (Muehlhausen) du légitime mariage de Von Germai(n)n Froëve archiduc de Mulhausen (aujourd’hui Mulhause en Alsace, Allemande) et de Louise ? de St-Amarin, Haute Alsace. Il appert qu’il appartient à une famille noble d’Alsace, professant le luthérianisme, comme l’atteste son acte d’abjuration. Johann Wilhelm était l’aîné survivant de la famille ducale de Mulhausen. Il passa les premières années de sa jeunesse au château de Mulhausen sous la surveillance de son précepteur Lambert dont il parlait souvent avec son frère cadet Fréderick qui mourut plus tard à l’âge de trente ans. Il parlait aussi d’une sœur Wilhelmide dont on ignore la descendance généalogique. Avant d’entrer dans les détails de ce qui concerne la famille, je dois déclarer que Johann Wilhelm Froëve, d’après son apocryphe a été désigné dans son acte d’abjuration et de mariage religieux ou civil sous le nom de François Frève et non de Lallemand tel qu’on le nommait dans la paroisse de Ste-Anne de la Pocatière. (Voir aussi « cousin François»). C’est ainsi que cette petite colonie Mulhousienne fit de Sainte-Anne de la Pocatière il y a près de 140 ans, le berceau d’éclosion de la famille Frève; mais cette souche y a toujours été représentée par la deuxième génération, par les branches de Clément et de Charles sous le surnom d’alias Lallemand; excepté celle dans la personne de Jos François Frève qui a continué l’affiliation directe et réelle jusqu’à l’auteur de ce récit. Le fondateur y est mort chrétiennement et fut inhumé dans le cimetière de Sainte-Anne de la Pocatière en 1824. (Le 20 mars 1824). C’est à peu près ce que je sais de l’origine de la famille Frève. D’ailleurs l’abbé Tanguay n’en fait aucune mention dans son dictionnaire généalogique. J’ai essayé d’obtenir des renseignements  sur l’origine du nom Frobe donné du moine par ignorance de l’application du vrai nom de Froeve dont la lettre V ferait b à la rigueur elle ferait plutôt T. Néanmoins les différentes appellations de Frobe, Freb, Lallemand, ont peu d’analogue avec le nom de l’ancêtre. Or, le nom de Frobe, est un mythe de la fantaisie juvénile d’Alphonse de Montréal. »

écrit par J. David Frève / corrigé par France Bourdon

Prononciation possible du patronyme : Freubé

The answer is…

À la question de Michel…

Ça me rappelle un détail que j’avais complètement oublié : dans ma jeunesse, lors de visites à La Pocatière (Sainte-Anne, dans le temps), j’avais remarqué l’existence de Frève dans le village, sans y porter plus d’attention. Je n’ai jamais rencontré un membre de cette famille. Il y a quelques années, Pierre me disait que ma tante Gabrielle (ou est-ce mon oncle Joseph?) était un descendant dudit Froebe dont il est question plus haut. Sans doute que Gabrielle et Joseph ignoraient complètement ce fait à l’époque…

Comme quoi la généalogie sert à tisser des liens qui ne sont parfois pas évidents au premier abord.

La réponse : ton oncle Joseph.

arbre Joseph Laforest

Marie Dépau

Une suite à cette histoire…

Nos ancêtres

Ça ne change pas le monde sauf que…

Une grande découverte!

On connaît déjà ce petit bout de notre histoire du Canada …

Les Frève

François Froebe, fils de l’archiduc Germain Froebe et de Louise Rupelle, est né en 1759 à Mulhausen en Alsace. Enrôlé de force dans le régiment d’Anhalt, il réussit avec quatre compagnons dont Dickner, Phristern et Hurst à fuir la frégate Delight ancrée près de Rivière-Ouelle en 1780.

Recueilli par Antoine Lizotte, il s’engage chez Joseph Francoeur, cultivateur de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et par la suite s’engage sur le bateau de Jean-Baptiste Pelletier qui fait du cabotage sur le fleuve Saint-Laurent.

Abjurant le 2 janvier 1786, il épouse Marie Dépau le 20 février suivant et reconnaît son fils, Joseph-François, né le 10 janvier 1784.

Sauf qu’on ne connaît pas encore l’histoire d’Alphonse Frobe, un descendant de François Froebe, fils de l’archiduc Germain Froebe et de Louise Rupelle…

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Les Frève

Écrit en 2011…
Les commentaires sont intéressants.

Nos ancêtres

Un descendant m’a écrit un commentaire vendredi soir…

J’aimerais si possible savoir combien de frères de cette branche existe. J’en suis un et je sais que c’est mon ancêtre, mais les traces disparaissent assez vite qu’on n’arrive pas à monter notre arbre généalogique.

Le commentaire a été mis à propos de cet article… 

Cliquez.

Voici l’extrait qui concerne ce descendant.

Les Frève

François Froebe, fils de l’archiduc Germain Froebe et de Louise Rupelle, est né en 1759 à Mulhausen en Alsace. Enrôlé de force dans le régiment d’Anhalt, il réussit avec quatre compagnons dont Dickner, Phristern et Hurst à fuir la frégate Delight ancrée près de Rivière-Ouelle en 1780.

Recueilli par Antoine Lizotte, il s’engage chez Joseph Francoeur, cultivateur de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et par la suite s’engage sur le bateau de Jean-Baptiste Pelletier qui fait du cabotage sur le fleuve Saint-Laurent.

Abjurant le 2 janvier 1786, il épouse Marie Dépau le…

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Burlington, Vermont

Pour les curieux…

Nos ancêtres

Je me demande bien de qui je tiens certains gènes…

En tout cas le Vermont m’a toujours attiré.

J’ignore pourquoi.

Je n’y suis jamais allé, mais je sens que ça vient surtout de mes racines américaines.

Je ne sais pas si on s’y rendre…

Cliquez ici…

Ça me fait tellement plaisir de lire un tel article.

C’est comme un tapis rouge que l’on déroule.

Ça me rapproche tellement de mon ancêtre Stanislas Lagacé alias Dennis Lagasse qui est allé finir ses jours au Connecticut.

Voyez-vous mon arrière-grand-père a vécu une partie de sa vie au Vermont.

C’est là que je l’ai rencontré le 9 juin 1880 dans le village de Winooki avec sa petite famille. Winooski c’est une petite ville au nord-est de Burlington.

On avait écrit Segassy dans le recensement, mais ça m’en prend plus pour me mêler…

Toute sa petite famille était là…

Antoine, Stanislas Junior, Marguerite, Lilli…

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Overseer in saw mill

Overseer in saw mill résume  bien  ma quête  d’ancêtres  avec ces deux photos…

Pierre prise à 6 mois, sur le capot d'une voiture taxi conduite par mon père

Dennis Lagasse II

 

En fait  je pourrais  en mettre 6000!

La première était dans le petit album vert de ma mère. L’autre vient d’un Américain au Connecticut qui a « connecté » avec ses ancêtres en 2010.

Dennis est le quatrième Stanislas Lagacé. En quelques secondes sa vie venait de changer à tout jamais. La mienne venait de prendre une toute nouvelle direction.

petit nowhere

Maison Philias-Dupuis

Merci Lise de me servir de guide…

Circuit patrimonial

Circuit patrimonial

la maison du chef de gare

maison Philias-Dupuis

Érigé en 1924, le 172, rue Saint-Édouard a été construit par Philias Dupuis, agent de « dépôt », c’est-à-dire chef de gare du Canadian Pacifique à Sainte-Anne-des-Plaines. La maison a ensuite été habitée par son fils, puis vendue à la famille Léveillé en 1952. L’édifice a surtout marqué la mémoire collective en accueillant notamment la cérémonie de la Fête-Dieu à trois reprises, en 1947, 1955 et 1965. Des photos d’époque rappellent la célébration et les décorations typiques de cet événement marquant du calendrier religieux catholique. La demeure à deux niveaux d’occupation reprend les caractéristiques architecturales des maisons cubiques. Aussi est-elle caractérisée par un plan carré et un toit à quatre versants ou en pavillon, comme c’est le cas ici. Elle se distingue notamment par son revêtement traditionnel de brique rouge contrastant avec les éléments ornementaux en blanc, tels que les chambranles et les colonnes de la galerie. Les ouvertures sont disposées de manière symétrique en façade, afin de créer un effet d’équilibre. Une lucarne à croupe, ainsi nommée puisque couverte d’un toit à trois pentes, perce l’un des versants et éclaire les combles. Le sommet de la toiture est couronné par une balustrade de couronnement en fer forgé, typique des toits en pavillon. La balustrade n’a pas ici une fonction de garde-corps, mais ajoute à l’esthétisme et à l’ornementation de la maison. Enfin, le terrain de la demeure est délimité par une clôture traditionnelle en métal, un élément très rarement conservé sur les propriétés anciennes.

Mes photos prises en 2009!

172 rue St-Édouard à Ste-Anne-des-Plaines 2009 6

172 rue St-Édouard à Ste-Anne-des-Plaines 2009 3

172 rue St-Édouard à Ste-Anne-des-Plaines 2009 5