Juste un nom et une date – Ferdinand, 1959

Cela importe peu que nous soyons en hiver 57-58 ou en hiver 58-59 sur ces photos de mon enfance.

L’année 1959 voyait un autre déménagement de ma famille, fort probablement le premier mai 1959.

J’atterris donc dans la classe du frère ?…, un frère de Sainte-Croix.

Le frère ? était tout un joueur de hockey quand il jouait contre les grands élèves de l’école Adélard-Langevin. Il mettait le bas de sa soutane dans ses pantalons et volait sur la patinoire.

J’aurais bien aimé avoir mon bulletin de 5e année et vous le montrer comme celui de 6e. J’aurais eu son nom comme celui du frère Robert Joyal que j’ai fait revivre.

J’aurais bien aimé aussi avoir ma photo de classe de 6e.

Je me souvenais de quelques noms de élèves de ma classe de 5e, et ce, sans avoir à regarder le recto de la photo… Bélanger, Jetté, Piquette.

Mon ami Gérard Bélanger demeurait sur la rue Ste-Catherine. Il était un élève brillant.

Ma mémoire se rappelle vaguement de ses parents. J’ai le vague souvenir que son père était handicapé suite à un accident de travail. C’était en 1959.

Je tenais à retrouver ses parents dans le Lovell de 1959.

Ce que j’ai réussi à faire…

Fin du préambule

1959

Nous voyons peu de changement chez les Chaumont de Montréal de 1958 à 1959.

Jean-Paul ou Joseph Paul Chaumont n’y est plus. Je n’ai rien encore trouvé sur lui. Quant à Mariette, elle est toujours waitress au Vauquelin Café. Qui est donc cette Mariette Chaumont du 5411 de la rue Jeanne-Mance.

La semaine prochaine nous retrouvons ces gens dans le Lovell 1960, mais surprise, nous voyons maintenant les prénoms des conjointes.

La Révolution tranquille cogne à la porte…

 

 

 

 

Où étiez-vous le 28 mai 1959?

C’est ce que je cherchais depuis la semaine dernière.

Pas important de me dire où vous étiez le 28 mai 1959, à moins bien sûr d’avoir été dans ma classe en 5e année à l’école Adélard-Langevin avec le frère dont je ne me souviens plus du nom.

En 1959, j’avais écrit tout bonnement des noms au verso de la photo, mais pas de prénoms. Encore moins le nom du frère qui nous enseignait.

Première rangée en partant par le premier… Auger, Gingras, Synott, Dupuis, Tremblay, Charbonneau

Deuxième rangée en partant par le premier… Inconnu, Bolduc, Perron, Labrecque, Bélanger, Lemay

Troisième rangée en partant par le premier… Inconnu, Fortin, Provost, Denis, Lacoste, Coutu, St-Onge

Quatrième rangée en partant par le premier… Riopel, Godon, Jetté, Deschênes, Piquette

Debout? Je n’avais rien écrit, mais vous pouvez me repérer.

Je me rappelle de mon ami Gérard Bélanger, dans la 2e rangée, entre Labrecque et Lemay).

Gérard Bélanger demeurait sur la rue Ste-Catherine près de Moreau. Son frère Jean-Pierre Bélanger était dans la classe de mon frère Gilles dont le titulaire était nul autre que le frère Robert Joyal que j’ai eu l’année suivante.

J’avais deux photos de classe de mon frère quand il était à l’école Adélard-Langevin. Une en 7e année et une dans la classe du frère Joyal.

C’est comme ça que j’ai trouvé la date du 28 mai 1959…

puis la fille de Jean-Pierre sur Facebook.

 

1957-2000

BÉLANGER, Jean-Pierre 52 ans, nous a quittés le 11 avril 2000. Sa brillante carrière au sein du Réseau de la santé et des services sociaux évolua comme suit: CLSC Hochelaga-Maisonneuve, Association coopérative d’économie familiale (ACEF), Fédération des CLSC, Ministère d’état au développement social, Commission d’enquête sur les services de santé et les services sociaux, Conseil de la santé et du Bien-être, Conseil québécois de la recherche sociale (CQRS) ainsi qu’à l’Association pour la santé publique du Québec (ASPQ) en tant que bénévole pendant 20 ans.

Juste un nom et une date – Ferdinand, 1958

Pas facile de remonter dans le temps de mon enfance surtout quand ma famille a déménagé souvent. Une petite mise à jour sera de mise un peu plus tard avec les photos que j’ai partagées.

L’année 1958 voyait l’arrivée de nouvelles modèles avec leurs doubles phrases à l’avant. En 2013, je retournais dans les belles années 50 avec ce que j’avais écrit sur le blogue original…

https://sadp.wordpress.com/2013/06/16/bonne-fete-des-peres/


Bon, j’ai assez parlé de mes souvenirs pour le moment…

Lovell 1958

Lovell 1958

Adéla Chaumont, veuf d’Armand Chaumont, vit au 10710 Jacob. Ce n’est pas Adéla Drolet, car son mari Armand est décédé en 1971.

Le révérend Adéodat Chaumont demeure au 555 boulevard Gouin.

And Chaumont, sûrement André Chaumont, travaille chez MacDonald Tobacco et demeure sur Wurtele.

Armand Chaumont, toujours vivant, est menuisier ou charpentier. Il vit sur Bordeaux.

Berthe Chaumont, la sœur de Gérard, enseigne à la Catholic School Commission (CECM). Elle demeure chez ses parents.

Edmond Chaumont, toujours à l’emploi du CNR, est voisin de ses parents Armand Chaumont et Adéla Drolet sur Bordeaux.

Émile Chaumont, toujours journalier chez Dominion Glass, demeure sur Bordeaux.

Notre Ferdinand est toujours watchman à St-Jean-de-Dieu. Gérard, son fils, toujours enseignant et toujours au 3506 Lacombe.

Monseigneur Chaumont est toujours vivant en 1958.

Tiens, un nouveau apparaît dans le Lovell de 1958!

J Paul Chaumont, Jean-Paul ou Joseph Paul, enseigne à l’école St-Vital. Je vais partir à sa recherche cette semaine. On ne sait jamais je pourrais avoir un petit commentaire sur mon blogue.

Luc Chaumont, Lucien, conduit un camion pour le CNR. Un autre Chaumont sur la rue Bordeaux. Tricotés serrés ces Chaumont sur la rue Bordeaux.

Mariette Chaumont est waitress au Vauquelin Café. Elle demeure sur Jeanne-Mance. Aucune idée de ses liens de famille. Je n’ai rien trouvé encore. Probablement restée célibataire.

R. Chaumont, c’est peut-être René Chaumont, mais je peux être complètement dans le champ.

Roger Chaumont travaille à la Ville de Montréal. Je pense bien que c’est Édouard Roger.

Ou alors c’est Roger, le fils de Stanislas.

Stan, gardien à Bordeaux, c’est Stanislas Chaumont.

Yvonne Chaumont, fille d’Émery Chaumont et Adèle Wolfe, vit maintenant sur Berri. Elle serait aussi restée célibataire.

Z Chaumont, veuve de R vit sur Amherst. C’est la veuve de Raoul Chaumont. Ce couple, marié en 1951, n’a laissé aucune descendance.

Lundi prochain, juin 1959 dans la classe du frère ? à l’école Adélard-Langevin.

 

 

Juste un nom et une date – Ferdinand, 1957

Il ne semble que ça fait des mois que je n’ai pas écrit sur Nos ancêtres II. C’est probablement mon voyage dans le temps avec mes vieilles photos de famille…

Bon, arrivons en 1957 où nous voyons peu de changements dans le Lovell et deux disparus.

Lovell 1956

Lovell 1957

J’ai par contre encore des photos de ma mère à partager. Ici, ma petite soeur regarde notre père. On voit ses souliers bien cirés.

Ma mère est avec Agathe. Agathe c’est la poupée de ma sœur.

Ici, une petite voisine je suppose en pâmoison devant ma soeur.

Ma mère a toujours aimé les enfants. Je dois tenir ça d’elle.

Maintenant ma sœur commençait à être un peu tannée.

Ça c’est ma petite voiturette que mon père m’avait acheté après mon accident. J’avais pris une débarque dans l’escalier et j’étais resté sans connaissance pendant un petit bout.

Ma mère est avec sa petite nièce, la fille de sa nièce Jacqueline Brunet.

La famille a perdu de vue Jacqueline et sa petite fille depuis 1957.

La semaine prochaine… 1958 au 7169, rue Chabot.

Juste un nom et une date – Ferdinand, 1956

C’est en faisant revivre Ferdinand Chaumont que je replonge dans mes souvenirs d’enfance grâce aux vieilles photos de ma mère.

La semaine dernière j’ai oublié de vous en ajouter.

En voici une. C’est mon party de Première Communion en 1955.

Party time!!!

Je reconnais toutes les personnes, sauf deux: une jeune fille derrière mon père et la femme en avant à droite dont on voit le bras. Devant moi, c’est mon grand-oncle Édouard Métayer Junior, le fils de mon arrière-grand-père Édouard Métayer, capitaine de pompier. Édouard Junior était débardeur au port de Montréal.

Une autre photo prise au même moment. À gauche au premier plan, c’est Marie-Jeanne Lavoie, la femme d’Édouard Junior. À droite c’est leur fille Thérèse (qui a bougé) que j’ai retrouvée en 2009. Derrière elle, c’est ma tante Denise, une des sœurs de mon père.

Nous sommes toujours dans la cuisine du 4728 de La Roche. La Sainte-Vierge n’est pas encore à côté de la porte.

Ici, nous sommes sur la galerie qui donne sur le hangar. Joachim Tellier est à droite. Il met sa main sur l’épaule de mon frère Gilles. Mon oncle André Lagacé, frère de mon père, est à gauche.

Cheese…

Joachim Tellier était un orphelin que mes parents accueillaient à l’occasion. J’ai peu de souvenirs de lui, juste ce que ma mère m’avait dit un jour. Joachim Tellier est mort quand il a été mordu par un singe dans un laboratoire où il travaillait.

Revoici Joachim Tellier, un peu plus jeune.

Ici, ce sont les enfants de Marie-Louise Paiement. Urgel et Jacqueline. J’avais parlé de Jacqueline Brunet sur Nos ancêtres.

L’anecdote est savoureuse. Vous pouvez lire ici.

C’est ma mère qui avait fait le gâteau…

Ici, nous sommes le 25 décembre 1955 ou est-ce le soir du 24 décembre?

Ma petite sœur se souvient encore après 66 ans de son petit poêle jouet. La photo suivante a été prise soit en hiver 1954-1955 ou 1955-1956. C’est La Soirée du hockey dans la cour arrière. On voit la corde à linge de la voisine du dessous.

Go Habs Go!

Mon frère Gilles portait fièrement le chandail numéro 5 de Boom Boom Geoffrion. Moi, j’avais un chandail numéro 4 du Toronto… Tim Hortons?

Go figure…

J’ai toujours aimé la couleur bleue.

Ici, nous étreignions nos nouveaux patins reçus à Noël 1955. Notre petite soeur est assise derrière. On voit encore le petit poêle.

À Noël 1954, du moins je pense, mon frère et moi avions eu des jambières.

Bon, retournons au 15 juin 1956 dans la classe de madame Major.

2e année C dans la classe de madame Major

Madame Major n’était sûrement pas la soeur d’Hervé Major, le mari de Miss Gab de Snappy Hats. Elle l’aurait été si elle s’était appelée « mademoiselle » Major.

Bon, nice try…

Mes souvenirs sont peut-être un peu confus par contre.

J’avais une photo de classe de 3e année prise en juin 1957. Elle est disparue lors de la fête de ma retraite de l’enseignement en juin 2004. Ma femme l’avait utilisée pour faire un montage. J’aimerais bien aimé vous montrer la photo de mademoiselle Desaulniers, cheveux blonds, portant des lunettes si je me souviens bien. Un beau sourire en tout cas. Si je retrouve la photo, je vais la mettre ici.

Photo

1956

Lovell 1956

En 1956, Monseigneur Chaumont apparaît encore une fois dans le Lovell. Plusieurs Chaumont disparaîtront de la carte en 1957. Berthe, par contre, la sœur de Gérard fera son apparition.

Lovell 1957

Un petit dernier retour en 1956 avant de passer en 1957 la prochaine fois.

Lovell 1956

Armand Chaumont est toujours vivant et toujours charpentier ou menuisier.

E Chaumont, (c’est Émile (Aimé presque certain), est laborer (journalier) chez Dominion Glass.

Edmond Chaumont travaille au CNR.

Notre Ferdinand est toujours à l’emploi à l’hôpital St-Jean-de-Dieu.

L’autre Ferdinand demeure toujours au 122 St-Philippe et semble sans emploi.

Gérard, le fils de Ferdinand et Rose Anna, est toujours enseignant à la CECM.

Guy Chaumont (je n’ai rien trouvé encore sur lui) est machiniste.

Monseigneur Chaumont.

Luc (Lucien) Chaumont conduit un camion.

M ? waitress…

Stan garde toujours les prisonniers à Bordeaux.

La prison de bordeaux

Yvonne est toujours un trésor non réclamé…

— Z c’est Zéphirina Chalut, la veuve de Raoul Chaumont.

Ouf! Bonne semaine…

On ne sait jamais…

Un commentaire laissé sur Nos ancêtres que je reproduis ici.

Bonjour,
J’ai acheté une maison sur le chemin Comtois à Terrebonne ayant appartenu à la famille Lauzon (Adrien Lauzon, Pierre Hercule Lauzon et Laurette Dubois, Daniel Lauzon) durant de nombreuses années. Je cherche à retracer l’histoire de la maison et idéalement une photo!
Est-ce que quelqu’un ici pourrait m’aider?
Merci

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