Image d’une page du recensement américain – Waterville, Kennebec, Maine
Un recensement en dit long sur la vie des gens recensés.
À suivre bientôt sur Nos ancêtres.
En 1934, je vous avais laissés devant le 6966 de la rue Boyer à Montréal.
Ferdinand est de retour en ville et il demeure au 6966 de la rue Boyer dans le logement de Gédéas Mainville.
Dans le logement de Gédéas Mainville avec Rose-Anna, Jeanne, Berthe et Gérard? Pas certain…
Lovell 1934
Lovell 1934
Qu’est-ce que Ferdinand pouvait bien faire là dans la famille Mainville en 1934 avec sa femme et ses trois enfants? Nous savons que Thérèse est décédée le 3 juin 1930. Nous la voyons ici sur cette photo fort probablement prise à St-Lin
La crise de 29 a dû frapper fort à St-Lin pour que Ferdinand se fasse voler les persiennes de son hôtel…
C’est tout décidé Rose-Anna, je pars à Montréal.
On ne mentionne pas son emploi en plus dans le Lovell. Chômeur en 1934 comme tant d’autres? Et qui est ce Gédéas Mainville? Aucune idée des liens de famille qui uniraient Gédéas et Ferdinand pour me guider.
Un petit détour généalogique s’impose donc…
Gédéas Mainville, fils de Mathildée Laflèche et d’Isaïe Mainville, est né le 17 mars 1894. Il épouse Gilberte Jarry le 16 septembre 1918 en la paroisse St-Martin-de-Laval. Il décède le 31 janvier 1971 à l’âge de 76 ans. En 1934, Gédéas a donc 40 ans et Gilberte 38.
Dans le recensement de 1921, nous les retrouvons avec leurs deux fils, Antonio, deux ans, et Albert qui vient de naître. Albert décède en 1938. Antonio marie Alice Paiement le 6 septembre 1947. Il décède le 8 juillet 2001.
Aucun lien trouvé.
Lundi prochain, 1935, nous perdons de nouveau la trace de Ferdinand.
On y arrive…
Source: La société d’histoire et du patrimoine de Saint-Lin-Laurentides
En 1928, Ferdinand et Rose-Anna n’habitent plus au 6970 de la rue Boyer à Montréal. Ils sont donc de toute évidence ailleurs. Dans l’annuaire Lovell de Montréal, nous voyons un autre Ferdinand Chaumont. Celui-là est chauffeur ou charretier (carter). Il est le fils de Joseph Chaumont qui vit au 122, rue St-Philippe avec ses enfants. Je ne vais pas partir à leur recherche, n’ayez crainte. Les curieuses et les curieux peuvent voir que le révérend Conrad Chaumont réside au 4241, rue Adam.
Lovell 1928
Nous reviendrons un jour parler du révérend Chaumont.
Collection Famille Ferdinand Chaumont
1929
Lovell 1929
En 1930, toujours rien dans l’annuaire Lovell, sauf la famille de Joseph Chaumont vivant encore sur la rue St-Philippe. Le révérend Conrad Chaumont réside toujours sur la rue Adam.
Lovell 1930
1930
Nous savons que le 6 juin 1930, Ferdinand et Rose Anna enterre la petite Thérèse à St-Lin.
Collection Famille Ferdinand Chaumont
Thérèse est immortalisée sur une carte mortuaire, mais aussi sur cette photo ci-dessous. Elle tient une petite poupée.
Collection Famille Ferdinand Chaumont
Son grand frère Gérard passe probablement à droite. Nous aurions donc en exclusivité une photo prise de l’hôtel à St-Lin à la fin des années 20.
Je me demande bien qui a pris cette photo. Rose Anna ou Ferdinand?
Ici une autre de Thérèse Chaumont.
Collection Famille Ferdinand Chaumont
Ici on n’a pas à se poser de questions sur cette autre photo de la collection de la famille de Ferdinand Chaumont.
Appuie sur le petit bouton Gérard…
Aucun renseignement trouvé sur la vie à St-Lin durant la crise de 1929. Il y a bien une page Facebook, mais rien sur la crise et les persiennes de l’hôtel. C’est sur la page Facebook que j’ai pris le train.
All aboard…
Sur cette page Facebook, nous voyons l’hôtel Riopel, mais je sais que ce n’est pas l’hôtel de Ferdinand et de Rose-Anna.
Source: La société d’histoire et du patrimoine de Saint-Lin-Laurentides
En 1931, la famille n’est toujours pas dans le Lovell de Montréal. Il faudra donc fébrilement attendre la mise en ligne du recensement de 1931 en 2023. On retrouve dans le Lovell le révérend Conrad Chaumont au 4241 de la rue Adam. C’est le presbytère de la paroisse Très-Saint-Nom-de-Jésus. Quant à l’autre Ferdinand Chaumont il demeure toujours au 122, rue St-Philippe avec son père Joseph et ses deux sœurs Marie-Louise et Zélia.
Lovell 1931
1932, toujours rien dans le Lovell de Montréal. Le révérend Conrad Chaumont est maintenant prêtre à Très-Saint-Nom-de-Jésus. Un Philippe Chaumont tient un garage au 1608 St-Christophe et un Stanislas Chaumont est un vendeur. La famille de Jos Chaumont réside toujours sur la rue St-Philippe.
Lovell 1932
1933…
Encore toujours rien. Une veuve demeure au 6975 rue De Normanville.
Lovell 1933
1934!
Tiens, Ferdinand est de retour en ville…!!! Il demeure au 6966 de la rue Boyer dans le logement de Gédéas Mainville.
6966 Boyer – Gédéas Mainville
6966, rue Boyer, Montréal
À suivre…
Mis à jour le 18 avril 2022
Pour s’y retrouver plus facilement avec l’histoire de Ferdinand Chaumont et de sa famille sur Nos ancêtres II…
Voici la liste des billets déjà mis en ligne.
Juste un nom et une date – Ferdinand Chaumont 1885
Juste un nom et une date – Ferdinand Chaumont 1885 – Prise 2
Juste un nom et une date – Direction Montréal… Arrêtez-le quelqu’un
Juste un nom et une date – Direction Montréal… 474, rue Daniel?
Juste un nom et une date – Direction le Trait-Carré
Juste un nom et une date – Ferdinand arrive en ville (1911-1927)
Juste un nom et une date – Ferdinand arrive à
Juste un nom et une date – Ferdinand retourne à Montréal (1934)
Juste un nom et une date – Ferdinand disparaît de la circulation (1935)
Juste un nom et une date – Ferdinand revient à Montréal (1936)
Juste un nom et une date – Ferdinand déménage (1937)
Intermission – Les nièces de Ferdinand
Juste un nom et une date – 1938 et 1939
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1940 et 1941
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1942 et 1943
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1944 -1945
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1946 – 1947
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1948 -1949
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1950 -1951
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1952
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1953
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1954
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1955
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1956
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1957
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1958
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1959
Juste un nom et une date – Ferdinand, 5 janvier 1960
Juste un nom et une date – Ferdinand, 1961
Juste un nom et une date – Ferdinand et Gérard, 1962 et 1963
Mise à jour 2 novembre 2021
Ajout d’information
Ferdinand et Rose Anna ont habité dans la sous-sol d’Elzéar Therrien sur la rue Boyer.
Introduction
Ma nouvelle lectrice voulait en savoir plus sur son grand-père Ferdinand Chaumont qui n’était qu’un nom et une date dans mon arbre Les ancêtres de Ste-Anne-des-Plaines.
Son père Gérard avait peu parlé de son père, tout comme son père Ferdinand avait peu parlé de son père Calixte. Un peu comme mon père, Léo Junior, n’avait pas parlé de son père Léo Senior, encore moins ce dernier avait-il parlé à son fils de son père Stanislas qui s’était fait appeler Dennis Lagasse en émigrant au Connecticut en 1889.
Je devais donc retrouver seul mes ancêtres Lagacé.
Ça, c’est une photo de mon père au cimetière Repos Saint-François-d’Assise. Il y repose en paix depuis 1995.
Ici, c’est son père Léo Senior, surnommé le gars de party par les gens de St-Hyacinthe dans les années 20. On le voit à Montréal avec ses fils Léo Junior et le petit Marcel.
Marcel est né le 17 décembre 1929 et n’a jamais marché de sa vie. Je devine que mon père devait être attaché à son petit frère Marcel. C’est comme ça que je me souviens de Marcel quand j’étais petit.
J’avais écrit sur Marcel sur Nos ancêtres. Vous pouvez aller lire si vous êtes curieux…
1 janvier 1964
Vous pouvez aussi aller lire ça…
La généalogie, c’est un peu comme faire du bungee…
Assez de lecture, on s’en va maintenant à Montréal comme promis.
Enfin, on arrive en ville Rose-Anna…
Je me demande s’il va réussir à trouver toutes les bonnes adresses…
Selon sa petite-fille, Ferdinand Chaumont aurait été conducteur de tramway, propriétaire d’un hôtel à St-Lin, aussi d’un dépanneur à Montréal, puis finalement il aurait été gardien de nuit à l’hôpital St-Jean-de-Dieu. Avec tous ces précieux indices fournis par sa petite-fille, je suis donc parti fébrilement à sa recherche pour valider le tout, consultant l’annuaire Lovell comme je l’avais fait en 2008 pour retrouver mon grand-père paternel que l’on voit ici avec ma mère Aline dans la cour arrière du logement de mes grands-parents sur la rue Mentana à Montréal.
Tu sais Aline, j’aurais dû parler à ton petit Pierre de mon vivant…
Pour la source de toutes les photos de tramways ci-dessous, voici le lien vers le site Internet de la STM si vous voulez le visiter.
https://www.stm.info/fr/a-propos/decouvrez-la-STM-et-son-histoire/histoire/histoire-des-tramways
Ferdinand apparaît seulement en 1911 dans l’annuaire Lovell. Il n’est pas répertorié dans le Lovell de 1910.
En 1910, nous voyons deux Chaumeau: Joseph E. qui est (carpenter) charpentier, et Jos. qui est (laborer) journalier. Ensuite, deux Chaumont: A. Chaumont qui a une épicerie au 3130, rue St-Dominique et Edw. (probablement Édouard) Chaumont qui est un chauffeur (driver) demeurant au 1030 de la rue Bordeaux.
Lovell 1910
Je ne sais pas si Ferdinand était déjà à Montréal en 1910, mais je sais par contre où il demeurait en 1911 grâce au recensement canadien de 1911.
Ferdinand est pensionnaire dans la logement de Madame Israël Labelle. Elle est veuve avec ses enfants. On y remarque que Ferdinand est conducteur de tramway, qu’il travaille 52 semaines par année pour un salaire de 600 dollars. Sa semaine de travail est de 72 heures. Trois autres pensionnaires habitent aussi au 1803, rue St-Denis, et ils tous sont des employés de la Montreal Tramways: Jos. Paquette, Fred et Aimé Bastien, probablement deux frères.
Je n’ai rien trouvé dans le Lovell de 1911, ni pour Madame Israël Labelle ni pour Ferdinand Chaumont. Notre A. Chaumont a maintenant une papeterie et Edw. est maintenant Ed. Chaumeau. Nous avons aussi un Jean Chaumont qui est peintre en bâtiment.
Lovell 1911
Voici une belle photo prise le 1er avril 1911. Elle vient du site de la STM. Ferdinand Chaumont, Jos, Paquette, Fred et Aimé Bastien peuvent s’y trouver, mais je ne vais pas essayer de le faire.
Passons maintenant en 1912. Ferdinand est toujours absent dans le Lovell. Il doit être encore pensionnaire chez Madame Labelle. On voit des Chaumeau et des Chaumont sur la page.
Lovell 1912
Voici des photos de tramways datant de 1912. On peut imaginer Ferdinand qui inspecte son tramway.
1912
1912
1913…
Ferdinand se marie le 10 Juin 1913.
Il prend un logement sur la rue Daniel qui sera renommée rue Bélanger en 1914. (https://imtl.org/rue_montreal.php?rue=Belanger)
Ferdinand (Ferd) est toujours employé de la Montreal Tramways.
Lovell 1913
Voici des photos datant de 1913.
1913
1913
1914… Le 474, rue Daniel devient la rue Bélanger. Le 474 était à l’intersection de la rue St-André. Les numéros de rue ont changé depuis. Voici l’emplacement sur Google Maps.
Lovell 1914
Lovell 1914
Photo datant de 1914
1914
Le 1er juin 1914, Jeanne Chaumont vient au monde. Elle est à droite.
1915
474, rue Bélanger, Ferdinand est toujours employé par la Montreal Tramways.
Lovell 1915
Le 10 décembre 1915, Berthe Chaumont vient au monde. Berthe est à gauche.
1916
474, rue Bélanger Est, Ferdinand est toujours employé par la Montreal Tramways.
Lovell 1916
Lovell 1916
Le 22 décembre 1916, Gérard Chaumont vient au monde. Gérard a environ huit ou dix mois. On a maintenant une photo du 474, rue Bélanger à Montréal.
1917
La petite famille vit toujours au 474, rue Bélanger Est, et Ferdinand est toujours employé par la Montreal Tramways.
Lovell 1917
Photo datant de 1917
1917
1918
Toujours au 474, rue Bélanger Est et Ferdinand est toujours employé par la Montreal Tramway.
Lovell 1918
Photos datant de 1918
1918
1918
Normalement un autre enfant devrait naître en 1918, mais je n’ai rien trouvé.
1919
Grand déménagement! 476 rue Bélanger Est! On déménage juste à côté ou la Ville a décidé de changer les numéros de porte.
Ferdinand est toujours conducteur de tramway.
Ticket, Ticket please… Ticket…
Lovell 1919
1920
Toujours au 476, rue Bélanger et Ferdinand est toujours à l’emploi de la Montreal Tramways.
Lovell 1920
1921
Pas de changement…
Lovell 1921
1922
Grand changement de carrière! Ferdinand a maintenant une épicerie au 298, rue de Lanaudière.
Lovell 1922
1923, Ferdinand retourne travailler pour la Montreal Tramways. Il demeure au 298a, rue de Lanaudière. Au 298, rue de Lanaudière se retrouve probablement son beau-frère Elzéar Therrien, frère de Rose-Anna.
Lovell 1923
Lovell 1923
1924, aucun changement de domicile: 298a De Lanaudière.
Lovell 1924
1925, la famille déménage au 2036 rue Boyer. L’aventure de l’épicerie est donc bel et bien terminée. Je me demande ce qui est arrivé à son beau-frère Elzéar Thérien (Therrien).
Lovell 1925
1926, Ferdinand est toujours conducteur de tramway à l’emploi de la Montreal Tramways. 6970 rue Boyer? Selon moi la Ville a changé le système des adresses.
Lovell 1926
1927, 6970 rue Boyer, Ferdinand est toujours conducteur de tramway.
Lovell 1927
1928, Ferdinand n’est plus dans le Lovell de Montréal. C’est donc au cours de 1927 que la famille est fort probablement déménagée à St-Lin.
Lovell 1928
St-Lin!
C’est donc là que cette photo a été prise. On s’y retrouvera lundi prochain.
About time Rose-Anna, about time!
Un dernier petit détour avant Montréal…
On s’en va où? Le haut ou bien le bas du Trait-Carré?
Il fallait s’y attendre. J’ai encore passé tout droit…
On reviendra plus tard se rendre au 474, rue Daniel à Montréal.
– Moi, Rose-Anna, je dirais le haut du Trait-Carré…
– Ferdinand, il n’était pas supposé arrêter d’écrire lui?
Oui Rose-Anna, j’étais supposé d’arrêter d’écrire, mais je n’ai plus de freins… Nous sommes maintenant à bord de ma machine à remonter le temps, direction Ste-Anne-des-Plaines, 23 juin 1911, et tout ça à cause d’un petit commentaire.
Mon père, Gérard Chaumont, venait de Ste-Anne-des-Plaines.
Son père, Ferdinand Chaumont, était le cousin de monseigneur Chaumont.
Ce dernier a célébré le mariage de mes parents.
Dans cette page, tirée du recensement de 1911, nous y voyons les gens qui habitaient une section du Trait-Carré.
Mais était-ce le haut du Trait-Carré ou c’était le bas du Trait-Carré, ou Trécarré comme on l’appelait dans ce temps-là?
L’énumérateur Charles Crépeau avait vraiment fait du beau travail et avait recensé ces quelques familles du Trait-Carré: la famille de Napoléon Paquette, la famille de Rodrigue Guénette, la famille de Clodomir Coursol, celle d’Éphrem Lauzon, la veuve Maillé avec son fils Joseph, les deux frères Chaumont, Calixte et Napoléon, avec leur famille respective, et finalement la famille d’Alaric Alary et celle de Toussaint Bélisle.
Ça m’a pris longtemps avant de faire la différence entre le haut du Trait-Carré et le bas du Trait-Carré. Heureusement, en 2009, un descendant d’Aquila Lauzon m’avait mis sur la bonne voie.
C’est Yvon Lauzon qui m’avait envoyé cette photo avec une note pour faire revivre ses ancêtres sur mon blogue Nos ancêtres. Yvon demeure dans le haut du Trait-Carré sur la ferme ancestrale.
Voici la photo avec la note d’Yvon…
Charlemagne, Aquila, Modestina, Aldas, Germaine, Edmond, Phillibert, Irène, Eugénie et Blanche. Joseph était au champ.
Cette photo, prise vers 1910, fut pour moi le début d’une toute nouvelle aventure sur Nos ancêtres. Sans les photos partagées par Yvon, Doris Chaumont n’aurait jamais visité le pays de ses ancêtres en 2009. Sans lui, Ron Dépatie n’aurait jamais visité en 2010 la Maison Chaumont que son ancêtre avait bâtie. Sans Yvon, les ancêtres de Michel-Marie Seppey, qui avait immigré à Ste-Anne-des-Plaines, n’auraient jamais su que leur ancêtre Michel-Marie Seppey avait acheté une terre de roches dans le rang Sainte-Claire dans les années 1880.
Yvon avait aussi cette belle photo de famille d’Éphrem Lauzon, photo prise dans les années 1890.
C’est le même Éphrem Lauzon que nous voyons dans le recensement de 1911.
J’avais immortalisé toute cette famille sur Nos ancêtres, en autres, Monsieur Alcide…
Voici une image d’une carte des cadastres partagée par Richard Lauzon. Je vous laisse chercher où se trouvait la terre de Calixte Chaumont dans le haut du Trait-Carré.
Lundi prochain, on s’en va rencontrer Ferdinand à Montréal.
Promis… Fini les détours.